Des militants interpellent les conseillers régionaux sur les subventions accordées à l'aviation12/20/2018 À Orléans, le jeudi 20 décembre 2018 — À l’ouverture de la séance plénière du Conseil régional, 15 activistes d'ANV-COP21 et Grands-Parents pour le climat ont interpellé les conseillers régionaux leur demandant de ne pas voter la reconduction des subventions publiques allouées à l'aéroport de Tours, l'aviation représentant le mode de transport le plus polluant au monde. Ce jeudi matin, 15 activistes des collectifs Grands-parents pour le climat 37 et ANV-COP21 d'Orléans et Tours ont attendu de pied ferme Monsieur BONNEAU et les autres conseillers régionaux lors de l'ouverture de la séance plénière du Conseil Régional. Cette action non-violente a pour but de demander la non reconduction des subventions publiques allouées à l'aéroport de Tours, s'élevant à 1 million d'euros par an. Alors que la COP24 vient à peine de se clôturer et à plus de deux mois du dernier rapport du GIEC, les militants ont voulu interpeller les élus sur leur soutien à un mode de transport présenté comme l'ennemi du climat. Pour se faire, les militants ont effectué leur action en deux temps. Tout d'abord, une partie d'entre eux a attendu les élus à l'entrée de l'hôtel de région. Certains étaient enchainés au mur du bâtiment pour montrer que cette subvention emprisonne les espoirs d'un avenir vivable et soutenable pour toutes et tous. D'autres militants ont distribué des tracts aux élus et remis en main-propre le dernier rapport du GIEC à Monsieur BONNEAU en personne, afin de lui montrer que soutenir l'aviation comme mode de transport est contraire à ce que préconise le rapport des experts scientifiques sur le climat. Puis ils ont remis une seconde couche lors de la séance plénière, puisqu'un autre groupe de militant a perturbé la séance en déployant une banderole en haut de l'hémicycle puis en envoyant des avions en papier réalisés avec la première page du rapport du GIEC, symbolisant les espoirs de toute une génération pour un avenir avec un dérèglement climatique limité à 1,5° s'envolant avec ces subventions. Effectivement, les cris d’alarme de nombreux scientifiques et le dernier rapport du GIEC ont montré que la quantité de gaz à effet de serre que nous pouvons encore émettre dans l’atmosphère est très limitée si nous voulons contenir l’augmentation de la température mondiale en-dessous de 1,5°C comme le prévoit l’accord de Paris. Il nous faut donc faire des choix importants sur le maintien ou non de nos activités polluantes. Et c'est sur ce point que les activistes montrent du doigt le Conseil Régional. « Avec notre argent, la Région finance l'aviation, le mode de transport le plus polluant au monde » « Avec notre argent, la Région Centre-Val de Loire finance l'aviation, le mode de transport le plus polluant au monde », rappelle Pascal Hugo, activistes d'ANV-COP21. En effet, dans une véritable transition énergétique, il n’y a aucune place pour les vols de courte et moyenne distance qui sont des transports possédant des alternatives beaucoup moins polluante. D'ailleurs, les militants insistent sur le fait que cet argent devrait plutôt servir pour la transition en finançant des modes de transport alternatifs à faibles émissions et accessibles, comme par exemple les petites et moyennes lignes ferroviaires. Mais cette subvention représente aussi une injustice sociale, comme le précise Alexandre Bastias, militant orléanais : « Les personnes les plus aisées sont aussi celles qui voyagent le plus en avion. Alors que la taxe carbone est là pour nous inciter nous, citoyens, à utiliser le moins possible nos voitures, notre argent est utilisé pour subventionner l'aviation qui utilise le seul carburant d’origine fossile dont la consommation ne supporte aucune taxe. De plus, le transport aérien est également exempté de taxe carbone. Enfin, les billets d'avions bénéficient d'une TVA réduite ». La balle est désormais dans le camp de Monsieur BONNEAU et son groupe afin qu'ils montrent aux citoyens que ces derniers peuvent compter sur leurs hommes politiques pour les aider à relever le défi climatique et favoriser la justice sociale.
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Face à l'urgence climatique, 1000 personnes à Orléans ont décidé de ne pas céder à la pression faite par le ministre de l'intérieur M. Castaner, appelant les organisateurs à ne pas maintenir leurs manifestations. Dans un climat non-violent et bon-enfant, des doléances citoyennes pour une transition juste et écologique ont pu être lues par différentes associations orléanaises. Les organisateurs avaient donné rendez-vous aux participants à 14h devant le parc Pasteur, d’où le cortège s’est élancé jusqu’au bord de Loire, quai du Fort Alleaume, dans un parcours modifié par rapport à celui initialement prévu. En effet, dans un contexte de pression mise par les autorités, les organisateurs ont dû revoir leurs parcours à quelques jours de l’évènement. Prévoyant de passer devant les différents bâtiments des instances politiques locales (Département, Région, Métropole, Mairie), le cortège n’a pu s’arrêter que devant la Métropole après être parti devant l’hôtel du Conseil départemental. L’objectif de cette marche était de présenter des doléances citoyennes devant chacune des instances politiques locales concernées. Toutes les doléances ont tout de même pu être présentées par les associations membres du collectif, interventions entrecoupées de différentes chansons interprétées par la chorale militante. Ces doléances ont été récoltées lors de la première marche pour le climat du 8 septembre dernier et ont été travaillées lors d'un atelier organisé par le collectif citoyen Il est encore temps Orléans le 12 octobre. Elles ont été mises en lien avec le travail des associations qui les ont donc présentées lors de cette marche de décembre. « Ces doléances seront portées en janvier prochain aux différentes instances politiques locales en fonction de leurs compétences spécifiques afin d'interpeller nos dirigeants, en leur montrant que les solutions existent déjà et qu'elles sont réalisables », précise Samuel Archambault, militant d’ANV-COP21. Le collectif Il est encore temps Orléans rassemble une dizaine d’associations orléanaises œuvrant sur des sujets tels que la lutte contre le dérèglement climatique, la préservation de la biodiversité, la formation et la participation citoyenne, etc. Des doléances citoyennes présentées devant les instantes politiques locales Il s'inscrit dans le mouvement citoyen déclenché par la démission de Nicolas HULOT en septembre dernier et renforcé par la récente publication du rapport du GIEC. Le dérèglement climatique est une réalité que nous ne pouvons plus ignorer ; les catastrophes climatiques, le déclin de la biodiversité et l'épuisement des ressources sont autant de signaux qui nous montrent que les conditions de notre vie sur Terre sont aujourd'hui menacées. Les expert.s du GIEC soulignent cependant qu’il est encore temps de limiter le dérèglement global à 1,5°C. Selon eux, cet objectif n’est « pas impossible » mais « demande des changements sans précédent » et « des réductions d’émissions drastiques dans tous les secteurs ». « Aujourd'hui, nous n'avons plus le luxe d'attendre. Si les changements individuels restent nécessaires, il est urgent de passer à l'étape supérieure en agissant collectivement pour préserver notre avenir. Pourtant, les engagements pris lors de la COP21 nous conduisent aujourd'hui vers une hausse des températures mondiales de 3°C, et rien ne garantit qu'ils seront respectés », indique Laurianne Charruau, membre des Colibris 45 Orléans. Dans la perspective de la COP24 qui se déroule du 3 au 14 décembre en Pologne, il est important de montrer à nos dirigeants que les citoyen.ne.s attendent des politiques systémiques ambitieuses et soucieuses des générations futures. C’est ainsi que 230 000 personnes se sont réunis dans 191 villes partout dans le monde en ce samedi 8 décembre, dont 135 marches en France rassemblant 135 000 citoyennes et citoyens. À Orléans, le samedi 1er décembre 2018 — À la veille de l’ouverture de la COP24, 8 activistes d'ANV-COP21 Orléans se sont rendus dans 2 agences de Société Générale d'Orléans, afin d’engager le dialogue avec les salariés de la banque et de remettre une lettre aux directeurs. Ils leur ont exposé les motivations à l’origine de la mobilisation citoyenne qui cible Société Générale depuis plusieurs mois et leurs demandes : la fin de ses soutiens au gaz de schiste et le retrait de toute urgence du projet Rio Grande LNG au Texas.
Ce samedi, huit militants d'ANV-COP21 Orléans ont effectué une tournée de deux agences Société Générale de la ville d'Orléans. Démarche originale, ils sont allés à la rencontre des salariés de la banque afin d’échanger avec eux sur les raisons d’une mobilisation citoyenne qui s'intensifie depuis le mois de septembre : Société Générale est la première banque française à soutenir les industries fossiles les plus nocives pour le climat, l’environnement et les populations, à savoir le charbon, les sables bitumineux, les forages en eaux profondes et en Arctique, l’exportation de gaz de schiste [1]. Ils ont remis aux directeurs des agences une lettre signée par plusieurs organisations françaises et internationales [2]. Vincent Lombard d'ANV-COP21 Orléans insiste sur le rôle crucial joué par la banque dans le développement du gaz de schiste, un secteur en plein boum bien que catastrophique pour la planète : « Aux États-Unis, plusieurs dizaines de terminaux d’exportation de gaz liquéfié (GNL) sont en projet et auront pour vocation d’exporter massivement la surproduction de gaz de schiste américaine à travers le monde, et notamment vers les marchés européens et français. L’objectif de l’administration Trump : faire des États-Unis une superpuissance énergétique. Politique climaticide dont Société Générale est bien décidée à tirer profit, puisqu’elle est la première banque au monde à soutenir le développement de ces projets, avec plus de 1,1 milliard de dollars de financements accordés pour la seule année 2017. Trump l’a rêvé, Société Générale le fait ! ». Société Générale appuie notamment le développement du terminal d’exportation de gaz de schiste Rio Grande LNG et du gazoduc Rio Bravo Pipeline au Texas, qui contribueraient à émettre autant que 44 centrales à charbon, et menacent les conditions de vie des communautés locales et des peuples autochtones [3]. La coalition citoyenne Save RGV From LNG [4] et la communauté amérindienne des Carrizo Comecrudo luttent depuis plusieurs années contre ce projet de 20 milliards de dollars. En signant la lettre adressée par les militants aux directeurs d'agence, ils lancent un nouvel appel transatlantique à Société Générale, qui, ils espèrent, ne restera pas lettre morte. « Nous appelons la direction de Société Générale à cesser de suivre la même folie que Trump et à mettre fin aux soutiens de la banque au gaz de schiste, et en priorité au projet Rio Grande LNG. Société Générale est la championne des énergies sales, alors nous avons nettoyé par centaines ses agences partout en France [5]. Plus de 1 600 activistes sont passés à l’action depuis le 8 septembre, mais la banque reste à ce jour sourde à nos demandes. Il nous a paru important aujourd’hui d’expliquer notre démarche à ceux qui travaillent localement pour la banque, mais sont bien loin des décisions prises au siège parisien de Société Générale. En effet, le dérèglement climatique concerne tout le monde, et si rien n’est fait pour limiter l’augmentation de la température globale à 1,5 °C, les événements sans précédent que nous connaissons déjà aujourd’hui attendront une magnitude catastrophique demain », poursuit Leïla Boumeddiene d'ANV-COP21 Orléans. Un appel a été lancé le 8 septembre par les Amis de la Terre et ANV-COP21, et soutenu par 22 organisations françaises et internationales, à organiser une action géante de nettoyage de l’agence centrale de Société Générale à Paris le 14 décembre, jour de la clôture de la COP24, si la banque n’annonce pas publiquement une révision de sa politique [6]. « Nous appelons tous les citoyens à se joindre à cette action de désobéissance civile, pour que la banque endosse enfin sa responsabilité climatique », conclut Vincent d'ANV-COP21 Orléans. [1] www.ran.org/bankingonclimatechange2018 [2] Lettre ci-jointe. [3] Pour plus d’information sur ce projet, consulter le rapport des Amis de la Terre France « Société Générale, plein gaz sur les fossiles » : www.amisdelaterre.org/Rapport-Societe-Generale-plein-gaz-sur-les-fossiles.html [4] Save Rio Grande Valley From LNG, ou Sauvons la vallée du Rio Grande du GNL. [5] www.amisdelaterre.org/Climat-Societe-Generale-visee-par-des-actions-de-nettoyage-partout-en-France.html [7] Voir l’appel à action et la liste des signataires : www.amisdelaterre.org/Faisons-un-nettoyage-geant-de-Societe-Generale.html Samedi 8 septembre 2018 - 17 activistes ont nettoyé ce matin l’agence Société Générale de République à Orléans pour dénoncer le financement de la banque aux énergies sales. Cette opération nettoyage, d’envergure nationale, appelait la banque à cesser ses soutiens aux énergies fossiles, et en priorité au projet texan d’exportation de gaz de schiste liquéfié Rio Grande LNG. Scène inédite ce matin à l’agence République de Société Générale : les militants d’ANV-COP21 sont entrés munis de seaux, d’éponges et de balais pour faire le ménage de la banque, qui continue d’apporter son soutien aux industries fossiles les plus polluantes et impactantes pour les populations : le gaz de schiste, le charbon, les sables bitumineux, les forages en eaux profondes et en Arctique, les terminaux de gaz naturel liquéfié. Ils répondaient à un appel national à mener des actions pour dénoncer la politique climaticide de la banque [1]. “Société Générale est la première banque française à soutenir les énergies sales. Elle est même la première banque au monde à soutenir l’exportation et donc l’expansion du gaz de schiste aux Etats-Unis, alors que l’extraction de ce dernier est interdite en France ! Nous avons honte qu’une banque française détienne ce triste palmarès au niveau international, alors que d’autres à l’image de BNP Paribas ont fait le choix responsable de se retirer entièrement de ce secteur [2]. Dans quelques jours, se tiendra justement à San Francisco le Sommet mondial pour l’action climatique : l’occasion pour Société Générale d’annoncer de nouvelles mesures ambitieuses pour un alignement de ses activités avec les objectifs de l’Accord de Paris.” Affirme Vincent Lombard, militant d’ANV-COP21 Orléans. En effet, alors que tous les signaux climatique sont au rouge, les financements massifs accordés par une banque française à des énergies fortement émettrices de gaz à effet de serre entre en contradiction avec la volonté affichée de la France de respecter l’Accord de Paris sur le climat. Société Générale fait au contraire le jeu de la politique de l’administration Trump : en 2017, elle a accordé 1,1 milliard de dollars au développement de terminaux d’exportation de gaz naturel liquéfié issu de gaz de schiste en Amérique du Nord [3]. L’action menée aujourd’hui à Orléans s’inscrivait dans une dynamique de mobilisation internationale contre Rio Grande LNG, projet pour lequel Société Générale est responsable de lever 20 milliards de dollars. Ce projet monumental de terminal d’exportation de gaz de schiste prévu au Texas se développe en dépit d’une forte opposition des communautés locales et en particulier de la tribu autochtone des Estok’Gna. S’il voit le jour, il aurait pourtant des impacts majeurs et irréversibles sur le climat, la riche mais vulnérable biodiversité de ce territoire, ainsi que sur la santé et la sécurité de ses habitants [4]. Si la banque ne saisit pas l’occasion du Sommet de San Francisco pour relever son niveau d’ambition, les militants sont bien déterminés à poursuivre la mobilisation. Ils appellent dès à présent à organiser une opération de nettoyage de grande envergure à l’agence centrale de Société Générale boulevard Haussmann à Paris le vendredi 14 décembre, jour de la fin annoncée de la 24e Conférence des Nations-Unies sur le climat (COP24). #OpérationNettoyage [1] La mobilisation contre Société Générale est coordonnée par les Amis de la Terre et ANV-COP21 dans le cadre d’une séquence internationale d’actions Rise for climate, https://riseforclimate.org/ [2] www.amisdelaterre.org/Nouvelles-mesures-climat-de-BNP-Paribas-un-pas-dans-la-bonne-direction-2831.html [3] Voir les chiffres du Report Card 2018 : ran.org/bankingonclimatechange2018 [4] Plus d’information dans le rapport “Société Générale, plein gaz sur les fossiles” publié par les Amis de la Terre en mars 2018 : www.amisdelaterre.org/IMG/pdf/20180712rapportsocietegenerale.pdf Jour du dépassement : action à Carrefour pour dénoncer la surconsommation des ressources naturelles8/1/2018 Saran, 1er août – À l’occasion du “Jour du Dépassement”, journée symbolisant le franchissement du seuil au-delà duquel l’humanité consomme plus de ressources naturelles que la planète n’est capable d’en renouveler, 19 activistes d’Action Non-Violente COP21 ont vidé un rayon de l’espace multimédia de Carrefour et organisé un die-in pour dénoncer l’impact de l’obsolescence programmée sur la surconsommation des ressources et exiger le changement de pratiques de la grande distribution. A 19h30, les 19 activistes ont vidé un rayon de l’espace multimédia de Carrefour puis ont organisé un die-in en déployant des banderoles “Non à l’obsolescence programmée de la planète !”. Ces actions s’inscrivent dans le cadre d’une mobilisation nationale à l’appel des Amis de la Terre et d’Action Non-Violente COP21 (ANV-COP21). Depuis les années 80, le Global Footprint Network fixe la date du Jour de dépassement des ressources de la planète. Celui-ci avance chaque année : alors qu’il était atteint le 24 décembre en 1971, il est franchi cette année 2018 dès le 1er août ! En cause: le modèle productiviste qui pousse à la surconsommation dans l’ensemble des secteurs - transports, alimentation, fast fashion, électronique… Les organisations ont choisi de cibler celui de l’électronique où les fabricants et distributeurs ne se contentent pas du matraquage marketing, mais provoquent directement le rachat de biens neufs. Alors qu’il ne reste plus que 10 à 60 ans de réserves pour de nombreux métaux stratégiques [1], et que l’extraction est, avec l’agriculture d’exportation, responsable du plus grand nombre de violations des droits humains dans le monde [2], on constate pourtant une dégradation croissante de la réparabilité des produits : absence de pièces détachées ou vendues très chères [3], démontage de plus en plus difficile, obsolescence logicielle [4]… 40 millions de ces produits tombent en panne chaque année en France sans être réparés [5]. Si c’est le modèle même des fabricants et de la distribution qu’il faut revoir, le classement des Amis de la Terre [6] indique que Carrefour tarde particulièrement à s’adapter à l’épuisement des ressources : vente d’un nombre conséquent de produits sans pièces détachées, mauvaise information du consommateur, mauvaise reprise des déchets électriques [7]. ANV-COP21 et les Amis de la Terre appellent Carrefour à prendre des engagements concrets en faveur de la réparation : vente de produits plus réparables, fin du matraquage marketing, stratégie de sortie de l’obsolescence programmée. Ils continueront de se mobiliser pour un changement de pratiques de la part des distributeurs et un renforcement de la réglementation encadrant leurs pratiques. [1] US Geological Survey, 2017, Mineral Commodities Summary 2016 [2] Global Witness, 2018, AT WHAT COST? Irresponsible business and the murder of land and environmental defenders in 2017 [3] Les Amis de la Terre France, février 2018, L’accès aux pièces détachées : un enjeu majeur pour la réparation et le réemploi [4] ZD net, avril 2018, Galaxy S6 : Samsung annonce la fin des mises à jour [5] Les Amis de la Terre France, 2016, Allonger la durée de vie de nos biens : la Garantie à 10 ans Maintenant [6] Les Amis de la Terre France, janvier 2018, STOP AU COUP DE LA PANNE : Guide éco-citoyen de la réparation [7] Les réponses de Carrefour de septembre 2017 au questionnaire des Amis de la Terre sont lacunaires et révèlent que l’information sur la disponibilité des pièces détachées est lacunaire, que la disponibilité des pièces détachées est de l’ordre de 25 à 50 % selon les catégorie de produits et que la plupart du temps elles ne sont pas stockées en magasin ce qui décourage la réparation, la reprise du gros électroménager lors de l’achat d’un équipement neuf ne se fait qu’à la demande du client, ce dernier ignorant souvent ses droits. |
ANV-COP21
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